Le nom de cet éleveur se rattache à Séville. Son fer n'est pas connu. En 1868/1869, au moment où l'élevage de la viuda de BENJUMEA passe à ses enfants et Héritiers, José BERMÚDEZ REINA forme son élevage en achètant pas moins de 500 têtes de ces purs vazqueños (200 mâles et 300 vaches), directement issus du partage de la fameuse ganadería fondatrice de Vicente José VÁZQUEZ.
En 1871, il achète un lot de vaches gallardo (déjà croisé ou partiellement croisé de vázquez ?), et probablement quelques toros, de l'élevage du Duc de SAN LORENZO. C'est tout de même José BERMÚDEZ qui est réputé réaliser l'essentiel du croisement gallardo X vázquez qui entrera dans la composition du pablorromero : dès son achat, il met, dit-on, ses 200 toros vazqueños sur les vaches du duc de SAN LORENZO (que devient le reste de son bétail ? On sait qu'en 1872, il envoie toutes les vaches vazqueñas, pourtant de haute lignée, à l'abattoir ! Pourquoi ?...
En 1874 [en 1879, disent certains...] -donc sans connaître vraiment les résultats de son croisement de 1871-, BERMÚDEZ cède tout à Rafael LAFFITTE y CASTRO, qui possède déjà une lignée à base de vaches jijón croisées avec des étalons cabrera : l'amalgame des deux ensembles donnera les constituants du pablorromero, mais c'est seulement Felipe PABLO y ROMERO qui perfectionnera l'assemblage et l'amènera au plus haut niveau ; c'st pourquoi on l'appelle ici le pré-pablorromero.