Chez Pedro MOYA, époux de Carmen LORENZO, et plus connu sous son pseudonyme de NIÑO DE LA CAPEA, point de porte cochère, point de cour intérieure à l'entrée de la bâtisse. Tout juste un petit muret rehaussé d'une grille en fer forgé séparant parking et jardin jouxtant un bâtiment en forme de "L" appelé chalet par les Espagnols, mais se rapprochant plus d'une grosse et belle villa de plain-pied. Et peu importe ce que cela a coûté ; pour Don Pedro, l'important est de se sentir bien chez lui, dans cet endroit qu'il retrouve dès lors qu'il "ne porte pas la lumière", auprès de sa famille et de cet "enfant" chéri qu'il fit bâtir à la sueur de son front, grâce à une infinité de passes données à un nombre incalculable de toros, dans les arènes du monde entier...
Carmen LORENZO n'est en fait que la "régente" de l'élevage, jusqu'à ce que leur fils Pedrito _ plus aficionado que sa mère _ prenne la relève.