En 1995, les Héritiers de María Luisa DOMÍNGUEZ PÉREZ DE VARGAS se séparent. Alfonso garde le nom, le fer et une part du bétail : du pedrajas de haute qualité. De son côté, Javier [tout seul ?] crée son fer sous couvert de l'article 6 des statuts de la UCTL et prend sous son nom le reste du bétail pedrajas [ainsi les GUARDIOLA gardent-ils 4 fers malgré la vente simultanée de l'un d'eux à José ORTEGA CANO...]. Il est possible qu'une partie de ce bétail partagé vienne en fait de l'autre élevage pedrajas des GUARDIOLA : Héritiers de Salvador GUARDIOLA DOMÍNGUEZ, qui est donc racheté au même moment par José ORTEGA CANO et Rocío MOHEDANO JURADO, lesquels introduisent en plus chez eux du sang jandilla et du sang núñez ; ils n'ont pas forcément besoin de tout le bétail pedrajas des GUARDIOLA tandis que ceux-ci en ont grand besoin pour avoir un minimum de têtes sous leurs 2 fers (ne pas oublier que les camadas pedrajas sont toujours courtes). On ne détesterait pas que les transactions soient plus transparentes !...
Depuis quelques années, ces toros étaient en baisse, en bonne part sous son influence et celle de ses frères, semble-t-il. Depuis la séparation des Héritiers, ils semblent carrément en chute (faiblesse et mollesse, par-ci par-là quelque surprenant manso de gala et, bien sûr, quelque grand toro... comme leurs "frères" de chez Alfonso). Mais le fond de caste demeure et il ressortira bien un jour... si toutefois les soins adéquats sont apportés à l'élevage. On aura plaisir à se souvenir de la déclaration de Javier en 1990 : "Nous ne sommes pas tombés dans le tentation des concessions. Pour nous, il n'y a pas eu, il n'y aura pas d'autre ligne de conduite que celle suivie par notre famille depuis 40 ans : maintenir la bravoure à tout prix."... Si Dios quiere !...