FICHE ELEVAGE

Hijos de PABLO-ROMERO [José Luis de PABLO-ROMERO y ARTOLOITIA]

Plan : 03.02



En 1955, la ganadería passe de José Luis y Herederos de Felipe de PABLO-ROMERO [y ARTOLOITIA] à une société anonyme familiale gérée par José Luis. C'est encore une grande période pour les pablorromeros et leur fer ; pourtant des menaces se profilent déjà sur l'horizon...
Au début des années 60, les problèmes posés par le refus d'afeiter deviennent à nouveau aigus. Le secours vient de Antonio ORDÓÑEZ qui se conduit en authentique figure du toreo et accepte de les toréer, obligeant ainsi les vedettes à les prendre.
Que se passe-t-il exactement ? Est-ce seulement en raison de difficultés familiales dans la gestion de la ganadería ? Est-ce aussi pour des raisons extérieures ?... Dans la période de la fin des années 50, il y a des négligences importantes dans le suivi des reproductions (vaches et toros mélangés sans contrôle) et dans la sélection. On imagine ce que cela a pu représenter pour un ganadero comme José Luis... La conséquence est que les "familles" (reatas) de la ganadería se mélangent de telle sorte qu'elles ne sont plus guère identifiables : une véritable catastrophe car 40 ans de travail au moins tombent dans la confusion. C'est très certainement la raison qui pousse, dans les années 60, à introduire, dit-on, 2 étalons de BUENDÍA dans la ganadería pour tenter de compenser la perte ; cet apport probable coïncide en tout cas avec la poursuite de l'évolution des pablorromeros : davantage de pelages cárdeno, davantage de noblesse, accentuation du volume, cornes davantage asaltilladas. Néanmoins, on trouve toujours des toros au type classique, tels "ROSALEDO", lidié en 1958, ou "SERRANITO", lidié en 1971.
Autre problème, la question du manque de force des toros et même des chutes commence à devenir préoccupante, pas seulement chez les PABLO-ROMERO. José Luis initie en 1972 une recherche vétérinaire qui se poursuivra après lui.

Courses et toros célèbres
° Le 28 septembre 1958, à Cáceres, le 1er, "ZORONGO", negro, est cédé par le Vénézuélien César GIRÓN au Portugais José TRINCHEIRA, qui prend l'alternative en présence de Manolo SEGURA.
° Le 25 mai 1958, à Madrid, "ROSALEDO", N°21, 570 kilos (332 en canal), cárdeno claro, magistralement toréé par César GIRON (2 oreilles) est primé de la vuelta al ruedo puis comme meilleur (= le plus brave) toro de la feria de la San Isidro. _ Par contre, César GIRON ne peut que aliñar son autre toro, "GONDOLERO", qui reste très court sur les 2 cornes. Mais le 5e, "MEXICANO", toro de grand tranco (de grande charge bien rythmée), tiré au sort par Cayetano ORDÓÑEZ ARAÚJO, fils aîné de "NIÑO DE LA PALMA", lui permet une grande faena ; son épée n'est pas au rendez-vous, mais le public l'oblige à faire 2 vueltas al ruedo. Par contre, au 2e, "MINUTO"nombre, Cayetano s'est contenté de quelques coups de torchon (trastear), comme nous disons en français... _ Ce même jour encore, le diestro de San Fernando (Cádix) Rafael ORTEGA donne de magistrales leçons de toreo avec "AVETARDO" (1 oreille) et "LIBRERO" (vuelta al ruedo), tant au capote qu'à la muleta.
° Le 16 mai 1959 à Madrid, le Sévillan Juan GONZÁLEZ "EL TRIANERO" confirme son doctorat quand Antonio ORDÓÑEZ lui cède le toro "CHALEQUITO", cárdeno, 502 kilos, en présence de Victoriano ROGER "VALENCIA".
Dans les années 60 et encore au début des années 70, on ne compte plus les triomphes à Madrid, Málaga, Bilbao, Valencia, Barcelona, Algeciras, Pamplona, Murcia et San Sebastián (arènes du Chofre). Ainsi :
° En 1960, sont honorés d'une vuelta al ruedo : le dimanche 22 mai 1960, à Las Ventas pendant la San Isidro, "CUBANO", negro zaino, lidié en 6e par le Portugais José JULIO _ et le 16 août 1960, à San Sebastián dans les anciennes arènes du Chofre, "COLLARITO", negro zaino, 399 kilos en canal (660 en vif), lidié en 5e position. __ Pour sa part, "VELADOR", negro zaino, 520 kilos, remporte le Catavino de Oro de la corrida-concours de Jerez, le 11 septembre 1960 : le voici qui s'élance face à Curro REYES, frère du conocedor de l'élevage. Qui dit mieux ?
° En 1961, l'embellie continue. la corrida de PABLO-ROMERO de Séville est une des belles course de la Feria (d'avril ?). Trois toros se mettent en valeur : "ROSCÓN", n°25, qui prend 4 puyazos en grand brave ; "BARQUERO", n° 53, également ; et "PROCURADOR", n° 18, aussi.
° En 1961 toujours, le dimanche 21 mai, "YEGÜERIZO" (N° 74, negro burraco, 537 kg, né en décembre 56, sorti 5e), idéal pour le torero, fait la vuelta à Madrid, en San Isidro ; le Vénézuelien Curro GIRÓN lui coupe 1 oreille.
° Le 7 mai 1964, à la Monumental de Barcelone, le 5e, "VENENOSO", cárdeno oscuro et bragado, 546 kilos, est primé de la vuelta al ruedo pour son magnifique jeu dans tous les tercios.
° Le 23 août 1964, "TREMENDO", 605 kilos, negro mulato et bragado, triomphe à San Sebastián et reçoit la vuelta al ruedo.
° En septembre 1964, plaza de La Condomina à Murcia, le Sévillan du quartier San Bernardo, Diego PUERTA, obtient un mémorable triomphe en coupant 4 oreilles et une queue à ses 2 pablorromeros.
On ne compte plus les triomphes à Madrid, Málaga, Bilbao, Valencia, Barcelona, Algeciras, Pamplona, Murcia, et San Sebastián dans la vieille plaza du Chofre. La ganadería de PABLO-ROMERO est en 1ère ligne ; son prestige dépasse celui de MIURA car toutes les figuras -et elles ne manquent pas !- se laissent annoncer devant les pablorromeros : c'est un geste important.

° Le dimanche 30 mai 1965 à Madrid, est un grand jour. Tout d'abord, "LUMINOSO", negro mulato bragado, 565 kilos, est cédé par Antonio ORDÓÑEZ à José FUENTES, de Linares, qui confirme son alternative ; il écoute 1 avis à ce toro mais coupe l'oreille de son second. Mais c'est la dernière course de la San Isidro. Le grand Antonio ORDÓÑEZ, retiré des arènes depuis deux ans et absent de Madrid depuis trois, vient confirmer l'alternative de José FUENTES qui semble alors promis à un grand avenir grâce au "lancement" effectué par "EL PIPO", l'inventeur du CORDOBÉS, alors évincé par sa "créature". Le témoin est Carlos CORBACHO [ler futur mentor de José TOMAS et Alejandro TALAVANTE], qui . Selon le témoignage de Jaime de PABLO-ROMERO en personne, Antonio avait pris rendez-vous par téléphone avec son père, qui l'avait ensuite reçu à BENAZUZA, pour lui faire part de son retour et avec quel élevage -il tenait à le lui annoncer personnellement-, et lui demander de voir la corrida prévue pour Madrid ainsi que de la rendre un peu plus "aimable". Avec finesse, le père de Jaime avait répondu au maître : "Mon cher ami, faites face à vos obligations de torero ; moi, je ferai face à mes obligations de ganadero." Eh bien, c'est le Rondeño qui sera le triomphateur et le grand vainqueur de la course ; il coupera les deux oreilles du quatrième (donc son second), "COMILÓN", cárdeno, et sortira en triomphe par la grande porte ; le voici dans un somptueux pecho "de la casa". L'anecdote est d'autant plus forte que nous sommes en début de temporada et que toute la camada reste à vendre car personne n'en veut puisqu'il n'est pas question d'afeiter les toros !... Or par son geste, Ordóñez va débloquer la situation, les figuras ne pouvant se permettre de rester en retrait par rapport à lui. Comme au temps de "MANOLETE" dans les années 40, le refus d'afeiter ses toros de 4 ans, alors que les confrères font sortir des toros de 3 ans, parfois afeités, est à nouveau la cause de problèmes pour le même José Luis, qui conserve son intégrité avec un grand courage mais non sans diplomatie...
° Le 25 juillet 1967, à Valencia, le 4e, "RELAMIDO" cárdeno triomphe en recevant la Placa de Plata du mailleur toro de la fira de julio .

° Le 23 mai 1968 à Barcelona, c'est une course d'exceptionnelle qualité, superbement présentée, brave, noble ; et, en plus d'un toro qui obtient la vuelta al ruedo, "POTRICO" (N°59, cárdeno, 513 kg., 64 cm "de pitón a pitón", 53 cm de longueur de corne, 2 piques dont une le blesse profondément à l'épaule et 2 refilones) est gracié -chose exceptionnelle à l'époque- pour son exceptionnelle bravoure ; c'est sa photo qui illustre ici, en en-tête, sa ganadería. [Cependant, annonciatrice des problèmes à venir, la corrida lidiée le même jour à Madrid s'avère bien armée, lourde, affichant moins de faiblesse qu'on ne pouvait le craindre, mais sans franche bravoure et sans le pouvoir correspondant à son gabarit. Terrible irrégularité...].
Voici quelques échos de l'époque. José RIBA LEDO résume la course de Barcelone pour la revue française "TOROS" : "Adresse à "POTRICO". A toi, toro exceptionnel de l'élevage ancien de PABLO-ROMERO qui, lors de la course du 23 mai, montra toute la fierté, toute la majesté de la noble bête qu'est le toro espagnol de combat au point d'enflammer le public et de lui faire obtenir, à cors et à cris, le pardon de ta vie, je dédie la modeste chronique de ce jour où sera narré le comportement des six congénères du même élevage [ce récit est donc celui d'une autre course ; mais il donne une idée de ce que peut être une grande corrida de PABLO-ROMERO cette année-là] : "YEGÜERO", "SERRANITO", "SACRISTÁN", "MISIONERO", "COSTURERO" et "MARQUESITO", qui, s'ils n'atteignirent pas ton degré de bravoure et de noblesse, maintinrent haut le pavillon de ta race, de cette race qu'évitent d'affronter certains qui se disent toreros pour laisser place à d'autres qu'ils jugent moins toreros qu'eux mais qui, à coup sûr, sont plus hommes.
Tous tes frères méritaient les bravos ; furent ovationnés : "SACRISTÁN" (3°), "MISIONERO" (4°) et "COSTURERO" (5°) qui méritaient le tour de piste.
Le premier (510 kg.) prend bravement une pique, puis s'étiole un peu. Trois bonnes paires de Dámaso GÓMEZ, vaillant avec la flanelle et correct à la mort. Tour de piste.
Le deuxième (546 kg.) prend LIMEÑO quasi d'entrée et lui inflige un coup de corne, peu grave heureusement, à l'avant-bras gauche. Longue et dure pique. Deux paires clouées avec facilité par Dámaso GÓMEZ qui, malgré un accrochage sévère, sert une des plus émouvantes faenas que j'aie vues. Pinchazo, estocade en se jetant sur le morrillo, descabello. Oreille, deux tours de piste. Même succès après la mort du brave quatrième (542 kg.).
Deux superbes piques infligées par Curro REYES au brave "SACRISTÁN" (529 kg.) qui se cantonne dans les terrains du tendido 1 et que Andrés HERNANDO, resté alors seul en piste, expédie avec habileté (une oreille). Le torero se voit dépassé par le cinquième (536 kg.) qui prend trois piques et qu'il tue assez laborieusement, et il n'est guère meilleur au sixième (596 kg.) qui en reçoit deux et qu'il tue bien.
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Quant au combat de "POTRICO", on en trouve le récit dans "EL RUEDO", de Madrid, qui est l'hebdomadaire de référence : "¡ Qué encierro, señores ! Digne de justifier la renommée de PABLO-ROMERO. Avec des têtes spectaculaires, une belle estampe et du trapío, poil cárdeno et brillant, pezuñas petites et légères. Et en plus, une bravoure et une noblesse exemplaires. Peut-être manqua-t-il un peu de force mais ce serait trop exiger. Toutes les bêtes furent applaudies à leur sortie des chiqueros : à l'une on donna la vuelta de l'arrastre et celle qui termina la course, aussi brave et noble que ses soeurs, mais avec, en plus, une inlassable et allègre charge, fut graciée. "POTRICO" ne prit que deux piques, mais dures et, dans la seconde, poussa jusqu'à obtenir la chute du groupe équestre. Andrés HERNANDO dessina une faena sérieuse et classique avec de superbes naturelles templées avant de demander l'indulto et de recevoir les deux oreilles symboliques. "POTRICO" fit des difficultés pour gagner le toril parce qu'il semblait vouloir mourir en combattant sur le sable".
La guérison de "POTRICO" est difficile en raison de l'une des blessures occasionnées par la pique qui est entrée sur 12 cm. au bas de l'épaule ; on voit ici sa photo dans le toril après l'indulto. Plus tard, "TOROS" donnera de ses nouvelles : Don Felipe, fils de José Luis et propriétaire actuel de PABLO-ROMERO, a manifesté qu'il affecterait "POTRICO" en qualité d'étalon, et ce malgré son impressionnante encornure. 'Il est trop intéressant de voir ce que seront ses produits', a-t-il conclu justement." Comme semental, ses descendants ne conserveront, hélas ! pas la bravoure de leur père ; il donne même des résultats catastrophiques : subtilités de la génétique... Le ganadero ne tarde pas à exposer sa tête naturalisée dans l'un de ses salons. Comme quoi la sélection n'est pas une science exacte ! ni des qualités hors du commun un passeport assuré de longue vie...
Cette course recevra le prix de la meilleure ganadería de l'année à Barcelone.

° Lors de la 7e corrida de la fira de julio 1968, dans ces mêmes arènes de Valencia, un formidable Francisco RIVERA "PAQUIRRI" coupe la queue de "JOYERO" [la famille des joailliers, déjà !], 547 kilos. La ganadería enlève le trophée de la Feria de Julio.
° Le 11 août 1968 à Málaga, le 1er, NERVIOSO, negro zaino , qui ne pèse que 484 kilos, a une impressionante présence en piste. Il est cédé par le tolédan de Santa Olalla, Gregorio SÁNCHEZ au malagueño de Bobadilla, Antonio GARCÍA "UTRERITA", qui prend l'alternative, avec pour témoin SÁNCHEZ BEJARANO. L'absence de commentaire sur sa prestation laisse supposer que le nouveau docteur s'est quelque peu fait "manger" par ce toro -comme quoi le poids ne fait pas tout, et n'est ni le trapío ni la caste !-.
° Le samedi 29 mai 1971, à Madrid, le 4e, "SERRANITO", cárdeno claro, 312 kilos en canal (520 vif) et d'une merveilleuse beauté, est primé comme meilleur toro de la feria de la San Isidro. Pourtant il est peu acharné (codicioso) au cheval ; mais Paco CAMINO, avec sa technique exceptionnelle, sait profiter de sa bravoure allègre et de son extraordinaire noblesse pour réaliser une faena magnifique, obtenant les deux oreilles. Vielta al ruedo, et prix "MAYTE" en tant que meilleur toro de la feria de San Isidro 1971.Ce toro est le 3e pablorromero de l'histoire à obtenir ce prix.
° Au cours de cette même course, le maestro salmantin de Vitigudino Santiago MARTÍN "EL VITI" coupe 1 oreille du 5e, "CABRERO".
° Le 12 août 1971, dans l'ancien Chofre de San Sebastián, "COLOMBIANO" est l'ultime toro lidié par Antonio ORDÓÑEZ : à la surprise générale, il annonce après cette course qu'il se retire des ruedos.
° Le 18 août 1974, à Bilbao pour l'Aberri Eguna (jour de la patrie), le 6e, "CURSILÓN", cárdeno claro, reçoit le trophée du Club "COCHERITO" comme toro le plus complet de l'année.
° Le 9 septembre 1974, à Murcia, le 5e, "ARRENDATARIO", gagne le trofée du Club Taurin local comme meilleur toro de la feria de cette année.


Mais le spectre de la faiblesse apparaît déjà comme préoccupant. Pour la premi-ère fois de leur histoire, les pablorromeros se mettent à tomber... Consanguinité ? Alimentation ? Pourquoi, dans la même camada où ils sont tous élevés ensemble, les uns sont-ils très solides et d'autres tombent-ils ? N'y aurait-il pas un facteur génétique ? Courageusement - cela lui ressemble bien ! -, José Luis évoque le problème, et à partir d'août 1972 il initie un travail de recherche en collaboration avec l'École vétérinaire de l'université de Cordoue. Son fils, et bientôt successeur, Felipe tente en vain de convaincre l'UCTL de se joindre à la recherche : ce problème est le sien, pas le notre, pense-t-on... dans le milieu ganadero, on évoque à mots couverts l'apport saltillo qui a peut-être dégénéré faute de rafraîchissement depuis plus de 50 ans... on susurre que, conscient du problème, José Luis a mis secrètement sur ses vaches 2 toros de Joaquín BUENDÍA, 10 ans plus tôt : 2 sementales de la branche asaltillada adoucie, ce qui expliquerait l'évolution de la ganadería vers plus de noblesse et moins de caste, de piquant - un facteur aggravant quand surgissent des problèmes de faiblesse -... Les professionnels n'ont-ils pas remarqué à la même époque l'apparition dans les camadas de toros moins volumineux ? plus petits, ils ne supportent plus la surcharge pondérale d'une alimentation trop riche... La diététique taurine en est à ses balbutiements, et la ganadería PABLO-ROMERO, parce qu'elle porte en elle tous les facteurs à risque, est plus exposée que d'autres à la maladie du temps : la recherche d'un toro trop grand et trop lourd.
José Luis meurt en 1975 ; son fils, Felipe de PABLO-ROMERO y CÁMARA, prêt à lui succéder, hérite de la ganadería qui passe sous son nom [toujours sous couvert de la même société anonyme, dont il devient le gérant] ; il va prendre le problème de la faiblesse à bras le corps.


Les événements


Date : 1955
Date : entre 1960 et 1965
  • Cession de bétail :
    L'élevage bnd1 vend à l'élevage Hijos de PABLO-ROMERO [José Luis de PABLO-ROMERO y ARTOLOITIA] 2 etalons (encaste bnd).
    Ces 2 étalons pur santacoloma auraient été ajoutés pour remonter un relatif bache de l'élevage dans les années 1960. C'est loin d'être improbable. L'histoire de l'encaste pablorromeros (introduction à peu près certaine de saltillo dans les années 1914-1917) et certaines confidences sur les pablorromeros actuels ("ils ressemblent à des santacoloma avec une corpulence de gallardos") inciteraient d'ailleurs à croire que ce buendía est bien plus asaltillado que ibarreño.


Date : 1975